Le 5 juin dernier, l’équipe masculine de handball de l’Université de Strasbourg a décroché le titre de championne de France élite à Rouen. C’est le troisième titre élite pour l’Unistra après le doublé des basketteuses et basketteurs. Portrait du jeune capitaine de l’équipe : Maxime Duchêne.
Maxime n’a que 22 ans et déjà une longue carrière de handballeur derrière lui ! Le handball, il est tombé dedans quand il était tout petit. « J’ai commencé à l’âge de 4 ans. Mon père et ma mère faisaient eux-mêmes du handball. J’ai grandi dans cet univers », explique Maxime. C’est au sein du club de Sélestat qu’il a tout appris et est devenu un sportif de haut niveau. Depuis cinq ans, il évolue au sein du centre de formation du club, dans l’équipe dite de « réserve », et pourrait un jour « passer professionnel ». D’ailleurs à la rentrée 2014-2015, il quittera pour la première fois le club de Sélestat pour intégrer celui de Strasbourg/Schiltigheim. Une magnifique opportunité de réaliser un rêve ! « Quand on est petit, on rêve tous d’être dans l’équipe de France. Moi j’ai déjà eu l’opportunité de jouer à plusieurs reprises avec l’équipe pro de Sélestat et à la rentrée, je vais intégrer un club d’un niveau encore meilleur… tout en poursuivant mes études. Alors ça me va ! », souligne Maxime en souriant.
« Ce sont des aventures comme celle vécue avec l'équipe universitaire qui me motivent »
Si toute sa vie tourne autour du handball, le jeune homme passionné n’en a pas moins choisi de faire des études. « Pour plus tard, la reconversion après le handball. » En première année de licence Staps, Maxime souhaite s’orienter vers le management ou le marketing du sport l’an prochain. « Quelle que soit la façon dont évolue ma carrière, le handball, ce n’est que du bonheur pour moi depuis toujours, malgré les entraînements presque tous les soirs de la semaine et la fatigue parfois. Les membres de l’équipe et du club, ce sont tous des copains. Et puis ce sont des aventures et des victoires comme celle vécue avec l’équipe universitaire qui me motivent. »
Et quelle aventure en effet ! C’est Maxime, aidé de Marc Reinhold* comme coach, qui a constitué l’équipe championne. « Notre but était de monter l’équipe d’étudiants sportifs de haut niveau la plus compétitive pour aller à Rouen. » Malheureusement au moment de partir au championnat, un souci de santé empêche le coach d’accompagner son équipe. « Nous sommes partis à Rouen, livrés à nous-mêmes, sans coach, sans ballon et sans repères. » En plus, les joueurs, même s’ils se connaissaient bien, n’avaient eu aucune occasion de se préparer ensemble. « Les premières minutes du premier match ont été difficiles. Il a fallu prendre nos repères, s’autocoacher….mais on a finalement gagné contre l’équipe championne en titre ! Cela nous a regonflés à bloc. »
Le titre élite en poche, Maxime et son équipe pensent déjà aux championnats d'Europe
Le deuxième match perdu, il n’y avait pas d’autre choix que de remporter le troisième pour rester dans la compétition. C’est l’exploit que les Strasbourgeois ont réalisé. « La demi-finale et la finale ont été tendues, serrées et dures physiquement, mais le public était avec nous et on a finalement remporté le titre élite. » L’équipe universitaire a gagné sa place pour les championnats d’Europe universitaires à Braga au Portugal l’an prochain ! Les yeux de Maxime pétillent et il réfléchit déjà tout haut à la façon de financer le voyage de l’équipe. Il va falloir définir un budget, trouver des sponsors, etc., de quoi mettre en pratique dès maintenant son goût naissant pour le marketing du sport !
Anne-Isabelle Bischoff
*Responsable administratif de l'Association sportive de l'universitéEncadrés par le Jardin des sciences, 15 étudiants en master et doctorat de l’Université de Strasbourg ont pris le Train de la science pour Copenhague jeudi 19 juin pour assister à l’EuroScience Open Forum (Esof), le plus grand colloque européen de communication scientifique. Vous pouvez les suivre sur leur blog pendant leur voyage.
Quinze étudiants ont été sélectionnés pour prendre place dans le Train de la science. Le but : assister à la plus grande conférence européenne de communication scientifique à Copenhague du 19 au 27 juin. Ils ont été retenus pour leurs profils complémentaires et leur cursus aussi bien en sciences qu’en journalisme, droit ou management.
Encadrés par le metteur en scène Alexandre Taesch, les étudiants répartis en groupes ont écrit de courtes pièces en anglais sur des thèmes scientifiques de leur choix, comme les détecteurs de mensonges, le super‐ordinateur Watson d’IBM, ou la résistance aux antibiotiques. Ils joueront ces courts sketchs dans le café Wonder area mardi 24 juin au soir.
Durant ce séjour, les étudiants pourront également accéder librement aux différentes conférences de l’Esof et visiter la ville.
Comme chaque année depuis 20 ans, les étudiants du Cuej, l’école de journalisme de l’Université de Strasbourg, terminent leur formation par une immersion dans un pays étranger. Cette année, ils ont découvert la Birmanie. Leurs travaux réalisés sur place sont désormais disponibles sur cuej.info.
Dans leur webdocumentaire vidéo intitulé « Génération Rangoun, le rêve birman », les étudiants ont travaillé sur la jeunesse de Birmanie. A travers trois vidéos, ils montrent que dans la capitale économique qui s'éveille, les 20-30 ans, qui ont grandi à la campagne ou ont été formés à l'étranger, viennent tenter leur chance, espérant s'inventer un autre avenir que celui de leurs parents. Engagés et impatients, inquiets et généreux, les jeunes se cherchent une place dans un pays meurtri qui s'ouvre tout juste au monde.
Le numéro spécial du magazine News d'Ill décrit ce pays qui s'ouvre à la modernité. Deux dossiers multimédias, « Birmanie, le grand réveil »http://www.cuej.info/dossiers-multimedias/birmanie-les-voies-de-la-democratie/birmanie-le-grand-reveil et « Voies birmanes »http://www.cuej.info/mini-sites/birmans/#Introduction_generale_, ont été réalisé au cœur de Rangoun, capitale économique d'un pays en pleine mutation. A travers des reportages en textes, en sons, en images et en multimédia, les étudiants nous parlent de ce fleuron du continent asiatique dans les années 1950 de retour sur la scène mondiale après plus d'un demi-siècle d'isolement sous le joug d'une dictature militaire.
Comme chaque année en été et depuis 95 ans, l’Institut international d’études françaises (IIEF) poursuit la tradition d’organiser des cours internationaux d’été. Cette année, les cours de français pour les étudiants internationaux auront lieu du 11 au 29 août 2014 (1, 2 ou 3 semaines).
Les matinées sont consacrées aux cours de français langue étrangère (FLE), dans des salles équipées de tableaux blancs interactifs, et les après-midis, des conférences et des ateliers sont prévus, les thèmes tournent autour de la culture et la société françaises.
L’IIEF dispose en outre d’un espace multimédia et d’un centre de ressources qui permettent aux apprenants de pratiquer l’autoapprentissage sous la direction d’un professeur. Après un test de positionnement, les candidats sont répartis dans des groupes de niveau et suivent, avec des professeurs spécialistes du FLE une formation adaptée à leur niveau, qui leur permet d’approfondir les compétences linguistiques dont ils ont besoin selon leur objectif.
Par ailleurs, de nombreuses activités culturelles et/ou sportives sont prévues l’après-midi et pendant le week-end.
Vous résidez dans une cité universitaire depuis un an et vous voulez faire profiter les autres étudiants de votre expérience dans la vie de la cité, devenez étudiant « relais-cité ».
Depuis 2004, les étudiants-relais sont chargés d'intégrer les étudiants des cités U dans les résidences et dans la ville et d'orienter les personnes en difficulté vers le réseau d'aide. Le Crous recrute de nouveaux étudiants « relais-cité » pour la période du 2 septembre 2014 au 15 mai 2015 à raison de 5 heures par semaine rémunérées 9,53 euros brut de l'heure.
Le Service universitaire de l'action culturelle (Suac) cherche des étudiants volontaires pour animer un stand Carte culture pour la rentrée 2014-2015.
Vous êtes étudiant en master ou doctorat, vous vous intéressez à la culture et vous souhaitez travailler ? Le Suac vous propose d'animer le stand Carte culture à la rentrée universitaire et de délivrer la carte 2014-2015. Vous travaillerez du 1er septembre au 24 octobre du lundi au vendredi à raison de 3 à 6 heures par jour et vous serez rémunéré au smic.
Les diplômés 2012
de l'Université de Strasbourg
Envoyez votre info à lactu@unistra.fr avant le mercredi 2 juillet midi pour une parution le vendredi 4 juillet 2014. Consultez les dates des prochains numéros.